G. Mollat, Jean XXII (1316-1334), op. cit, p.53590

G. Mollat, Jean XXII (1316-1334), op. cit., n°57814. Un des exécuteurs de la lettre est Guy de Lastours, chantre de Limoges, et le même jour, Guillaume d'Ayen, doyen de Saint-Yrieix, pp.31-32

J. Vidal, Benoît XII (1334-1342), op. cit., n°6751. On ne sait pas plus quelle fonction précise il occupait dans l'entourage de Pierre Roger, voir note 76, Il faudrait pour en savoir plus disposer de registres de suppliques mais ceux-ci ne commencent à être constitués que sous le règne de Clément VI et ils sont encore inédits

G. Mollat, «. Clément, V. , and J. De-bourgogne, bien que Clément VI ait envoyé déjà un notaire apostolique (dont Mollat ne donne pas le nom mais il s'agit bien de Guy) auprès de la reine pour négocier le plus secrètement possible, celle-ci ne put obtenir gain de cause. Il semble de toute façon qu'elle ait été maintenue à l'écart des négociations diplomatiques par le roi, Mollat fait remarquer que sur le sujet des bénéfices tombant en régale, p.416

L. Hommes-de-france and . De-beauvais, Jean de Marigny 109 , auquel le pape demande de discuter avec Guy pour lui donner son sentiment : faut-il présenter ou passer sous silence la lettre qui concerne les collations ? Au risque de faire péricliter le reste ? Guy semble avoir donné satisfaction au pape car dès octobre 1344 110 , Clément VI le fait accéder à l'épiscopat à Autun, et ce, à la demande même du roi de France. Il sort alors de l'ombre, quitte le décanat de Saint-Yrieix mais continue d'effectuer des missions secrètes. Il est renvoyé à la cour de France dès novembre 111 pour les affaires de son église et à nouveau, le pape est très élogieux à son endroit, vantant la confiance que l'on peut avoir en sa fidélité. En décembre 112 , Guy reçoit mission de négocier la paix entre Philippe VI et Edouard III. Il est encore actif sous Jean le Bon, comme émissaire royal cette fois : en 1351 113 , il est envoyé auprès du roi de Castille-Léon pour conclure un traité entre les deux souverains. En 1354 114 , Innocent VI le garde à son service et le renvoie à Jean comme « porteur des présentes [lettres] » pour négocier à propos des bénéfices conférés par celui-ci pendant la vacance du siège de Reims, alors que l'administration de l'archevêché avait été confiée au patriarche d'Alexandrie, ce qui rappelle la mission de 1344, Limousin et Avignon au XIV e siècle en tout premier lieu un ecclésiastique Mi-décembre 1355 115 , à quelques semaines de sa mort, Guy est envoyé par lettres en Castille, comme auxiliaire du cardinal légat Guillaume de La Jugie (neveu de Clément VI), en mission très difficile depuis que Pierre I er de Castille, dit le Cruel, a épousé en 1353 116 Blanche de Bourbon, une princesse de France qu'il l'a répudiée et emprisonnée et qu'un légat pontifical a déjà jeté l'interdit sur le royaume sans succès en 1354. Guy doit vite quitter le cardinal puisqu'il meurt 109 Ibid., n°688

L. Pape and . Guy, exposer au roi les contacts que Clément VI a eus avec un émissaire du roi d'Angleterre, afin que le roi lui donne réponse par le biais de Guy ou de tout autre « secrète personne, Clément VI, pp.1342-1352

P. Gasnault, M. Laurent, and N. Gotteri, Innocent VI (1352-1362) Lettres secrètes et curiales, 1875.