J. Rousseau, , p.1099

O. C. Confessions and I. Livre, Voir aussi les reproches et compliments faits par Rousseau à Mme Alissan de la Tour dans leurs échanges épistolaires, Correspondance, préface et notes de Georges May, p.111, 1998.

E. Montaigne and . Mucha, Garnier-Flammarion, 1969, t. I, Livre I, chap. XL, Considération sur Cicéron, p.304

, Marc Buffat a admirablement montré les figures de ce « paroxysme affectif » dans « Conversation par écrit », Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, pp.56-60, 1990.

O. Richard-pauchet,

, Cette étude compare à larges traits les formes naissantes de l'écriture de soi chez Diderot et

, Elle souligne le bénéfice moral et intellectuel que les deux frères ennemis retirent de la confidence épistolaire (apologie de soi, restauration narcissique de l'image auctoriale), mais aussi l'insuffisance du procédé, tributaire de la difficulté de « tout dire » à un proche et du mince retentissement de l'apologie. Elle évoque ainsi la longévité de la correspondance avec Sophie (1759 ?-1774) mais aussi les prolongements multiples de l'écriture de soi chez Diderot (Salons, romans, essais) au regard de la fermeté du projet autobiographique rousseauiste, les expliquant par le rapport différent à la forme dialogique chez l'un et l'autre écrivains. Abstract : This study roughly compares the birth of self-writing in Diderot and Rousseau's works from 1762. These authors both choose to express intimacy through letters adressed to the

, Diderot with Sophie (1759 ?-1774) as well as his other attempts in self-writing (his Salons, novels, essays)