J. , Placez-vous devant la Fontaine des Innocents ou proche la porte Saint-Denis ; ce sont deux accessoires qui enrichiront la composition

L. Maître.--m'y-voilà and . Jacques, Voyez au milieu de la rue un fiacre, la soupente cassée, et renversé sur le côté

L. Maître, .. Le-vois, and . Jacques, Une des filles, débraillée, la gorge découverte, se tient les côtés à force de rire. L'autre fille, qui s'est fait une bosse au front, est appuyée contre la portière, et se presse la tête à deux mains. Cependant la populace s'est attroupée, les polissons accourent et poussent des cris, les marchands et les marchandes ont bordé le seuil de leurs boutiques

L. Maître, Comment diable ! Jacques, ta composition est bien ordonnée, riche, plaisante, variée et pleine de mouvement. À notre retour à Paris, porte ce sujet à Fragonard, pp.221-222

L. Elles and . Perol, Pourquoi quinze ans après [entre la version du Salon de 1765 et celle, datant de 1780, de Jacques le Fataliste], la scène est-elle restée précise au point d'être prête pour le remploi lorsque la copie manque pour la Correspondance littéraire ? D'où lui vient ce 2 ? » L'explication est pour les uns

F. Leutrat, « Sur trois pages de Diderot », RHLF, sept, pp.831-836, 1969.

S. Lojkine, Le Dialogue et l'image. Essai sur la poétique de Diderot dans les Années 1760, pp.23-103, 1993.

, Lucette Perol, « De l'importance d'une soupente cassée, pp.71-78

G. Vidan, Style libertin et imagination ludique dans la correspondance de Diderot », SVEC, 90, pp.1742-1743, 1972.

I. Vissière, . Une, and . De-diderot, le texte-image », Actes du Colloque Diderot, les Beaux-Arts et la musique, pp.109-122, 1984.

B. Vouilloux, . Le-'tableau-en, and . Récit, Diderot et Fragonard », Diderot Studies, XXVI, pp.183-213, 1995.

, Lucette Perol, art. cit

, de cette masse de chair monstrueuse, le voiturier s'écrie, Une autre fois je me ferai montrer le

L. Religieuse, , pp.le récit-matrice

, Le véritable récit matriciel de l'oeuvre, c'est-à-dire le plus proche de l'événement brut, de la scène originelle de 1743, capable d'engendrer les deux « tableaux » (cela se vérifie notamment d'un point de vue chronologique

, on se rappelle qu'elle s'est blessée en franchissant l'enceinte), de l'autre côté du mur : Quelle est ma surprise ! Au lieu d'une chaise de poste dans laquelle j'espérais d'être reçue, je trouve un mauvais carrosse public. Me voilà sur le chemin de Paris avec un jeune bénédictin. Je ne tardai pas à m'apercevoir, au ton indécent qu'il prenait et aux libertés qu'il se permettait, qu'on ne tenait avec moi aucune des conditions que j'avais stipulées. Alors je regrettai ma cellule

C. , Quelle scène ! Quel homme ! Je crie ; le cocher vient à mon secours

J. Paris, La voiture arrête dans une petite rue, à une porte étroite qui s'ouvrait dans une allée obscure et malpropre. La maîtresse du logis vient au-devant de moi, et m'installe à l'étage le plus élevé, dans une petite chambre où je trouve à peu près les meubles nécessaires (Rel, p.261

, On peut considérer ce récit comme la version transitoire entre l'événement vécu et le

, L'aspect satirique de ce récit porte essentiellement sur l'avarice et la roublardise du Bernardin, à rapprocher de l'avarice et de la dureté du Carme. Ce trait révélant les dispositions anti-chrétiennes du monde ecclésiastique n'est pas seulement polémique dans la bouche du narrateur second (Diderot), il peut être une manière détournée d'exprimer sa rancune à l, Le commentaire grivois consiste dans l'application sentencieuse de cette histoire, qui évoque aussi l'anecdote du « cul » du petit président Des Brosses du Salon de 1767 (H. III, p.237

C. Dans and L. , Religieuse que l'on trouve les scènes les plus violentes de toute l'oeuvre, probablement les plus proches de l'événement brut, les moins remaniées, non sublimées encore par le temps, ces scènes que nous avons appelées traumatiques

, Frédéric Deloffre a admirablement montré

L. Marivaux and . De-sa-longue-scène-de-fiacre, Ce qui a masqué ce caractère du roman [celui le rattachant à la tradition romanesque et galante] aux contemporains, c'est la place que tient Mme Dutour dans la seconde et dans la troisième partie. Sa querelle avec le cocher surtout fit scandale. Desfontaines ne se contente pas de trouver ce passage « ignoble », il consacre encore à la « dépravation du goût dans les Romans et dans les Comédies » un article de fond dans lequel il se plaint que les auteurs modernes « vous rapportent tout au long les élégants entretiens d'un cocher de fiacre, d'une lingère et d'un fille de boutique ». Vingt ans plus tard, Raynal 1 , et trente ans plus tard, D'Alembert 2 , parlent encore de ce passage comme s'il offensait les bonnes moeurs ! Et si, à l'inverse, Marivaux suscite des imitateurs, c'est pour se trouver fâcheusement mêlé à la naissance du genre « poissard

, On voit que cette scène, largement incomprise par ses contemporains, fait l'objet d'un débat esthétique serré, y compris parmi les intellectuels les plus proches de Diderot. Est-ce encore une pure coïcidence ? On se rappelle que le dimanche 1 er août 1765, jour présumé du second accident, Diderot rend visite à d'Alembert après une longue brouille (« notre entrevue a été fort tendre »)

, voire picturales (d'Alembert, très malade, « s'est fait transporter de chez lui chez, Mais pourquoi pas aussi de considérations esthétiques

. «-rien-n, est mieux rendu d'après nature, et d'un goût plus détestable que ce tableau » (Correspondance de Grimm, Raynal, etc, p.269

, Il parle de détails « ignobles » qui « détonnent avec la finesse des autres dessins » (Éloge de Marivaux, dans OEuvres, p.587

L. Marivaux, É. Vie-de-marianne, ;. Frédéric-deloffre, and . F. Xxviii-xxix, Deloffre se demande également, sinon quels furent les modèles de cette scène de moeurs, « car la réalité les fournissait évidemment, du moins où Marivaux a pris l'idée d'en faire usage dans une oeuvre littéraire et pour quelle raison il l'a employée ici. Assurément, le thème de la dispute aves l'ânier ou le muletier ne manque pas dans la tradition picaresque, mais le fait est sans intérêt, car aucune tentative n'y est faite pour reproduire le langage pittoresque des adversaires. Mais si le roman ne fournit pas de précédents à la querelle avec le cocher, il existe dans d'autres genres une tradition voisine. La cinquante-troisième Récréation des Nouvelles Récréations de Bonaventure des Périers, Du régent qui combattit avec une harengère du Petit-Pont, à belles injures, n'est pas la première d'un genre qui se perpétue sur les tréteaux de Bruscambille, et qui fera fortune dans les parades et autres oeuvres poissardes. De la foire, le thème de la dispute populaire passa à la comédie, mais le cocher y remplaça la harengère. Portant à la scène italienne la querelle d'un faux vicomte et d'un fiacre, Régnard avait rajeuni cet emprunt aux Précieuses Ridicules par quelques détails réalistes. Marivaux se souviendra de tel terme 'cocher, 1963.

. Dans-la-lettre-suivante-À-sophie, du dimanche 18 août : « Notre ouvrage serait fini, sans une nouvelle bêtise de l'imprimeur qui avait oublié dans un coin une portion du manuscrit. J'en ai, je crois, pour le reste de la semaine après laquelle je m'écrierai, Terre ! terre ! » (LSV, p. 422) Pourquoi, dans la scène, cette mise hors-jeu d'Anne-Toinette

U. F. Imaginez, »). est arrivée, faisant un tour au Salon ne se reconnaîtra pas et ne rougira pas ? » Quel est en effet le personnage qui ne manquerait pas d'être intéressé par ce tableau, si celui-ci était un jour réellement exécuté par Baudouin, sinon le salonnier lui-même ? De la même façon, la fille qui rit 1 , en position de poissarde devant la scène, en est exclue pour deux raisons : spatialement, par sa position de spectatrice ; mais aussi moralement, par ce rire distanciateur qui la désolidarise à la fois du moine et de l'autre fille (un rire qui signifie : ce n'est pas à moi

, Manière de placer enfin les époux Diderot hors de cause, en faisant assumer d'une part le

, il devient en quelque façon convulsif ; les veines s'enflent ; les mains s'élèvent premièrement en l'air, en fermant les poings ; puis elles se portent sur le côté, & s'appuient sur les hanches ; les pieds prennent une position ferme, pour résister davantage à l'ébranlement des muscles. La tête haute se penche en arrière ; la poitrine s'élève ; enfin, si le rire continue, il approche de la douleur ». C'est cette position-type que l'on retrouve à de nombreuses occasions, particulièrement lorsqu'une figure de femme, spectatrice, se moque ou se fâche d'une scène un peu équivoque. Par exemple, la femme d'un satyre dans un tableau de Boucher : « cette femme qui se tient les côtes de rire de la manière dont son mari allaite ses enfants pendant son absence » (Familles de satyres, Salon de 1761, H. I, p. 140) ; ou cette autre mère, dans le tableau de Baudouin qui précède immédiatement celui donnant lieu à la scène de fiacre : « La mère est en grande colère, elle a les deux poings sur les côtés » (La Fille querellée par sa mère, Nous nous sommes intéressée à cette figure inquiétante de la « femme qui rit », dont la pantomime grinçante traverse toute l'oeuvre. On ne s'étonnera pas de trouver l'origine de cette posture entraînant l'expression « se tenir les côtes (ou le côtés) de rire » dans l'article de l'Encyclopédie PASSIONS, dans la sous-partie PASSION, (Peint.) pour lequel Jaucourt s'est inspiré de Watelet -article devenu un véritable manuel d'attitudes pour le peintre littéraire qu'est désormais Diderot : « La nuance du rire involontaire a son expression particulière, p.91

A. Chouillet and O. Richard-pauchet, , p.54, 2013.

«. Celle-ci, étendue, représentait pour certaines communautés une source de revenus considérables

, Souvent dégradés par une utilisation anarchique, les bois conservaient un air de mystère en même temps qu'ils protégeaient tous ceux qui voulaient s'y cacher. Eux aussi contribuaient à l'isolement du pays bourbonnais. Les chemins de Bourbonne n'avaient pas très bonne réputation

, donc toutes les raisons de parvenir à l'objectif personnel que le dramaturge, en dépit d'un prologue modeste, s'était tracé : offrir à un public choisi (sa famille étendue à un cercle d'amis) la résolution apaisée, à la fois esthétique et morale, d'un conflit intime et ancien que tout le monde connaissait, au sein les Pères malheureux, suggérant par cette « expression valise » que le fils, une fois devenu père (et assumant d'autres responsabilités, telles ses années parisiennes difficiles), connaissait le même malheur, dans la honte ou l'abandon, que le père dans la condamnation. Mais l'état de malheur, de part et d'autre, n'était plus celui de la rébellion ou de la colère, il appelait à une réconciliation. La pièce baignait elle-même, sans tomber dans un climat bucolique de convention, au sein d'une atmosphère poétique simple et mystérieuse, dont Diderot reconnaissait la valeur et la nouveauté puisqu'il l'avait testée dans les « contes » qu'il venait d'écrire sur le même registre -encouragé en cela par Mmes de Maux et de Prunevaux en ce qui concerne le plus « noir » d'entre eux

, Aussi les « fictions langroises

?. and G. Viard, Abondance) qui avait une réputation de coupe-gorge, De Langres à Bourbonne sur les pas de Diderot », dans Voyage à Bourbonne?, pp.155-156

, Voir la présentation de ce conte par Anne-Marie Chouillet et Lucette Perol, ibid, pp.55-56

, Entretien d'un père avec ses enfants, voir le volume IX cité ici. Il publie en revanche le Voyage et les Deux amis dans le volume VIII. Pour notre part, fidèle à l'esprit d'Anne-Marie Chouillet dans notre reprise en 2013 de son édition du Voyage à Bourbonne et à Langres et autres contes (1989), nous avons réédité uniquement les textes initialement choisis (le Voyage, les Deux amis, l'Entretien) ainsi que la correspondance se rapportant à cette période de l'été 1770 (voir les comptes rendus de ce nouvel ouvrage par Elena Gretchanaia dans Épistolaire n°40, Roger Lewinter publie judicieusement à la suite l'un de l'autre Les Pères Malheureux et l', pp.191-193, 2014.

, écriture s'interpénétrant eurent vocation, chez l'écrivain matérialiste, à transformer radicalement la perception de soi. inanimé (les toiles des Salons) ? Et d'autre part, que les représentations transposées à l'extrême, parfois, ne sont guère plus accessibles à une lectrice avertie telle Sophie, en tant que morceaux autobiographiques, qu'à un lecteur ignorant du passé de l'écrivain ?

. Qu, un seul instant, lire sous les projets de tombeau, par exemple, le profil d'un destin souligné sous l'angle le plus tragique ? Et que pensait-elle objectivement des élucubrations funèbres du critique, échafaudées dans ces esquisses hallucinées ? Elle ne pouvait y lire qu'une sorte de galimatias, encouragé par l'état dépressif de son correspondant. Diderot, beaucoup plus tard, reviendra lui-même sur ce goût bizarre qui le poussait à accueillir avec faveur

, Il reste qu'on doit insister sur la richesse et la liberté fantasmatique de ces « tableaux scéniques » et de ces « tombeaux », de ces biographèmes améliorés, hypertrophiés, anamorphosés tant par des sujets variés, capables de mettre en mouvement l'imagination du poète, que par la reprise inlassable d'un leitmotiv qui le rend toujours aussi bouleversant de nos jours. Ce qui nous importe en effet

, Concernant l'efficacité proprement autobiographique de fragments plus explicites

L. Pensées-détachées and . Xii, Ai-je pris un fait particulier pour les moeurs générales, ou ai-je jugé des moeurs générales par quelques faits particuliers ? Je l'ignore. Je lis que les pères sont idolâtres de leurs enfants ingrats ; que s'il se présente une entreprise lucrative et que l'enfant puisse l'enlever à son père il n'y manque pas et que le père en rit. Cela est-il vrai ? Cela est-il faux ? Je n'en sais rien. Il faudrait que l'amour de l'or eût singulièrement altéré les idées de l'honnêteté, de la reconnaissance

, Ai-je pris un fait particulier pour les moeurs générales, ou ai-je jugé des moeurs générales par quelques faits particuliers ? » marquent toutefois une étrange incertitude au contact de cette réflexion particulière, toute imprégnée d'une émotion très forte dès lors qu'il s'agit d'honnêtes femmes malheureuses, de père idolâtres et d'enfants ingrats? Ce qui nous importe chez le philosophe, avant même sa prise de distance spéculativeparfois laborieuse -avec le réel, c'est le fait qu'au sein de l'oeuvre poétique même, la vision créatrice une fois rejaillie dans les années 1770 est telle, Il me semble avoir dit le contraire ailleurs

, fataliste, sublime il est vrai, mais d'où toute trace de biographie a été balayée. Seuls peut-être, les personnages féminins des deux d'Aisnon mère et fille

, Champion, auxquels un jeune libertin sans aveu tenta jadis d'en faire accroire. Ce sont peutêtre aussi les mêmes qu'on voit ressurgir, comme dans un cauchemar de Goya, sous la figure de deux prostituées hilares échappées d'un fiacre renversé, vol.2

. Aujourd'hui-encore, Elles font de nous des lecteurs tout aussi fertiles, peut-être trop. Lorsqu'il s'agit, notamment, de bâtir du philosophe des biographies d'ampleur, la tentation alors, comme par capillarité de l'oeuvre, est tentante d'user de la fiction, coup de battoir » donné par l'une des trois blanchisseuses de Joseph Vernet (Les Occupations du rivage, 1767, tableau mentionné dans la « Promenade Vernet

R. Trousson and D. Diderot, , pp.597-598

. Ibid, Terme qui à ses yeux signifie ici aussi bien « unique » que « proche de la nature

A. M. Wilson, , pp.578-580

R. Trousson, D. Diderot, . Paris, . Tallandier, and . Biographie, , pp.296-300, 2005.

L. Il-s'agit-de-stéphane-lojkine and . Révolté, Notre compte rendu a été publié dans RDE n°44, pp.243-246, 2007.

, ANNEXES ANNEXE I Allusions à Richardson et à son oeuvre tirées de Diderot, Lettres à Sophie Volland, 2010.

. Lovelace-est-le-héros-du-roman-de-clarisse, On disputa beaucoup de Clarisse. Ceux qui méprisaient cet ouvrage le méprisaient souverainement. Ceux qui l'estimaient, aussi outrés dans leur estime que les premiers dans leur mépris, le regardaient comme un des tours de force de l'esprit humain. Je l'ai. Je suis bien fâché que vous ne l'ayez pas enfermé dans votre malle. Je ne serai content ni de vous ni de moi que je ne vous aie amenée à goûter la vérité de Paméla, p.177

, Seulement encore, mes yeux se remplirent de larmes ; je ne pouvais plus lire ; je me levai et je me mis à me désoler, à apostropher le frère, la soeur, le père, la mère et les oncles, et à parler tout haut, au grand étonnement de Damilaville qui n'entendait rien ni à mon transport ni à mes discours ; et qui me demandait à qui j'en avais. Il est sûr que ces lectures sont très malsaines après le repas, et que vous choisissez mal votre moment ; c'est avant la promenade qu'il faudrait prendre le livre, Ce que vous me dites de l'enterrement et du testament de Clarisse, je l'avais éprouvé

. Non, je ne suis pas pressé de ces fragments ; vous me les renverrez quand il vous plaira (17 septembre 1761, LSV, p.246

, Imaginez que cet ouvrage est répandu sur toute la surface de la terre, et que voilà Richardson l'auteur de cent bonnes actions par jour. Imaginez qu'il fera le bien dans toutes les contrées, de longs siècles après sa mort

, Clarisse tourne ses mains contre elle-même, dans un moment de désespoir. Dans un pareil moment où l'on n'est plus à soi, miss Howe, machinalement, d'instinct, simplement parce qu'elle était la fille de son père et de sa mère, aurait tourné les siennes contre son persécuteur. Si les choses s'étaient faites comme je les souhaitais, Clarisse eût été sauvée ; il est fort incertain que notre sublime brigand fût venu à bout de miss Howe ; iI aurait eu au moins une oreille déchirée ; et vous, trouvez-vous qu'il valait mieux que tout se passât comme il s'est passé. À la bonne heure, j'y consens. Je n'aurais pas été fâché, pour sauver Clarisse, d'aventurer un peu son amie. J'ai pensé comme cette amie a cent fois pensé elle-même, Vous voilà bien fière d'avoir tremblé que miss Howe ne tombât entre les mains de l'ami Lovelace et vous me croyez bien humilié d'avoir découvert au fond de mon coeur un sentiment aussi horrible que celui que je vous ai avoué, p.249

, Et depuis quand a-t-il été permis à un autre être qu'à Dieu d'être en même temps le juge et le délateur? C'est que ce Lovelace est d'une figure charmante qui vous plaît comme à tout le monde, et que vous en avez dans l'esprit une image qui vous séduit ; c'est qu'il a de l'élévation dans l'âme, de l'éducation, des connaissances, tous les talents agréables, de la légèreté, de la force, du courage ; c'est qu'il n'y a rien de vil dans sa scélératesse ; c'est qu'il vous est impossible de le mépriser. C'est que vous préféreriez mourir Lovelace, de la main du capitaine Morden, à vivre Solmes ; c'est qu'à tout prendre, nous aimons mieux un être moitié bon moitié mauvais, qu'un être indifférent. Nous espérons de notre bonheur ou de notre adresse d'esquiver à sa malice et de profiter dans l'occasion de sa bonté. Croyez-vous que quelqu'un sous le ciel eût osé impunément faire souffrir à Clarisse la centième partie des injures que Lovelace lui fait. C'est quelque chose qu'un persécuteur qui, en même temps qu'il nous tourmente, nous protège contre tout ce qui nous environne et nous menace. Et puis c'est que vous avez un pressentiment que cet homme, qui s'est endurci pour une autre, se serait adouci pour vous. La première question n'est pas de savoir si l'homicide est un bien ou un mal ; c'est ce qui est bien ou mal, ce qui mérite punition ou récompense, grâce ou peine de mort ; si celui que vous détruisez, de votre autorité n'eût pas fait plus de bien au monde par une seule action qu'il n'a jamais pu y faire de désordre. C'est que vous décidez de plusieurs choses très incertaines et très obscures, Je vous prie, mes amies, de vous défaire incessamment de votre charge de lieutenant criminel de l'univers. Et les magistrats assistés de l'expérience, des lois, des conventions qui les contraignent quelquefois et les autorisent à juger contre le témoignage de leur conscience, tremblent encore quand ils ont à prononcer sur le sort d'un accusé

, Je ne suis plus surpris de l'impression que l'histoire fait sur le baron. Elle a produit le même effet sur moi. Il n'y a pas un homme de bien sur mille scélérats, et l'homme de bien est presque toujours victime. Vous exterminiez en lisant Clarisse ; moi, j'exterminais de mon côté en lisant les guerres civiles de Naples, sous Henri de Lorraine, duc de Guise. Il n'y avait guère de jour que cet homme vertueux ne fît couper la tête et pendre par le pied. J'étais bien plus sévère que lui ; combien de têtes et de pieds qu'il épargnait et que je faisais sauter et percer. En vérité je crois que le fruit de l'histoire bien lue est d'inspirer la haine, Voilà ce que j'ai fait en attendant très impatiemment de vos nouvelles. J'ai lu en même temps un peu d'histoire, pp.253-255

, Adieu, mes bonnes amies. Disputez bien sur Clarisse. Soyez sûres que c'est vous qui sentez juste

, Je vous embrasse de toute mon âme. Les sentiments de tendresse et d'amitié que vous m'avez inspirés font et feront à jamais la partie la plus douce de mon bonheur, p.259

, Sitôt ma lettre reçue, mettez sous enveloppe les fragments de Clarisse et me les renvoyez. Mme d'Épinay me les redemande (19 octobre 1761, LSV, p.267

, Prenez garde qu'il ne s'agit pas de faire une Paméla parfaite, mais une Paméla vraie ; prenez garde que la rusticité de milord ne soit un caractère national ; prenez garde? mais il est inutile de multiplier ces Prenez garde. Il n'en faut qu'un pour vous mettre sur la voie. Il faut être à Londres, quand on lit cet ouvrage, et n'en pas sortir ; comme il faut être à deux mille ans d'ici et sous les murs de Troie, quand on lit Homère ; et surtout oublier la formule ridicule ou le petit moule dans lequel on situe tous les romans d'aujourd'hui. Encore un mot auquel je vous demande de rêver en vous promenant. C'est que presque toujours ce qui nuit à la beauté morale, redouble la beauté poétique. On ne fait guère que des tableaux tranquilles et froids avec la vertu, J'en appelle du premier jugement que vous portez de Paméla, à une seconde lecture? en attendant, je vous préviens que les reproches que vous lui faites sont précisément ceux que lui ont faits la tourbe des gens de petit goût, p.285

, pris deux exemplaires, un pour vous, un pour moi. J'espérais joindre à cette lettre la suite de l'affaire tragique des Calas, mais l'impression n'en est pas achevée. Ce sera pour jeudi prochain, Adieu, mes bonnes, mes vraies amies, pp.322-323

. Richardson-a-fait-d'abord-paméla-;-c'est-son-premier-ouvrage, . Clarisse, and . Le-grandison-le-troisième, Lorsque la traduction de Paméla parut, ce drame partagea tous les esprits. D'un côté étaient les hommes les plus éclairés, les plus instruits, du goût le plus sûr et le plus exquis ; de l'autre le peuple des lecteurs. Cela est triste pour vous ? J'en suis encore fâché pour vous. Combien petitement vous voyez le sujet de Paméla ! Cela fait pitié ! Non, Mademoiselle, non ; ce n'est pas l'histoire d'une femme de chambre tracassée par un jeune libertin. C'est le combat de la vertu, de la religion, de l'honnêteté, de la vérité, de la bonté, sans force, sans appui, avilie, s'il est possible qu'elle le soit, dans toutes les circonstances imaginables, par la dépendance, l'abjection, la pauvreté, contre la grandeur, l'opulence, le vice et toutes ses puissances infernales. Le discours de Paméla n'est jamais bas. Celui de son amant l'est à tout moment. Ah ! si l'histoire de cette petite fille, peinte d'après le roman par quelque homme ami de la nature et de la vérité, pp.344-345

, Tout le temps que j'emploierais à vous écrire, je le perds à laver la tête à un Maure

, Ah mon amie, il me semble que j'aime mille fois plus que cet homme-là. Pourquoi donc est-ce que je ne dis ni ne fais rien de pareil. Je vous ai dit que sa lettre était d'un Lovelace, vous en jugerez. C'est le même ton, les mêmes folies, les mêmes extravagances, le même défaut d'honnêteté, de justice et de sens commun, Voilà un volume d'écriture de Vialet que je vous envoie sans le lire. Cet homme est fou, et dans sa folie il dit des choses malhonnêtes qui me fâchent

J. Quelle-est-ma-surprise-!-au-lieu-d'une-chaise-de-poste-dans-laquelle, Je ne tardai pas à m'apercevoir, au ton indécent qu'il prenait et aux libertés qu'il se permettait, qu'on ne tenait avec moi aucune des conditions que j'avais stipulées. Alors je regrettai ma cellule, et je sentis toute l'horreur de ma situation. C'est ici que je peindrai ma scène dans le fiacre. Quelle scène ! Quel homme ! Je crie ; le cocher vient à mon secours

J. Paris, La voiture arrête dans une petite rue, à une porte étroite qui s'ouvrait dans une allée obscure et malpropre. La maîtresse du logis vient au-devant de moi, et m'installe à l'étage le plus élevé, dans une petite chambre où je trouve à peu près les meubles nécessaires (Rel, p.261

L. and S. Volland,

, Il est jeune. Je le trouve engagé de conversation avec une fille. Je renvoie mon dessinateur ; je m'assieds, et je me mets à causer avec ces fous-là. Le temps se passe. L'heure du dîner vient. Nous allons dîner, Destouches et moi, chez Lebreton, chemin faisant, nous devions jeter sa demoiselle rue des Prouvelles ; mais crac à l'entrée de la rue, voilà une des soupentes qui casse et Destouches qui va donner de la tête contre celle de la fille, et moi de la tête contre un des côtés du carrosse. Destouches descend par le côté renversé, homme d'esprit dont je suis devenu la passion, mais non pas la plus forte ni l'unique. Cet homme s'appelle M. Destouches

. Heureusement, Je vous ai dit le reste. J'ai encore de temps en temps des sensations au haut du nez comme de quelque chose qui voudrait tomber par là ; mais ce symptôme se dissipera comme les autres. J'aurai peu de scènes domestiques. Le temps est passé où la déraison me rendait fou furieux, et où désespéré de ne pouvoir porter mes mains sur un autre, je les tournais vers moi, et je me frappais, ou j'allai me donner de la tête contre le mur, pp.147-148

L. and S. Volland,

. Et, L. De-fiacre, and . Voici, Un cabriolet la remontait encore plus vite. Les deux voitures se heurtent, et voilà le cabriolet jeté dans la porte vitrée du café, et la porte mise en cent mille pièces. Je vous laisse à deviner le reste de cette aventure ; les cris mêlés du cafetier, du maître du cabriolet et de mon fiacre, le cabriolet brisé et à moitié engagé dans la boutique du cafetier, les chevaux abattus, le valet à moitié rompu, les jurements, le fiacre arrêté, et votre serviteur à pied au milieu du déluge. Il aurait été plus de deux heures du matin quand je serais rentré chez moi ; si cela m'était arrivé, Il était onze heures et demie du soir, p.424

, Salon de 1765

. Baudouin, Tandis qu'il se frottait les mains d'aise, Imaginez, continuai-je[,] un fiacre qui s'en va entre onze heures et midi à St-Denis. Au milieu de la rue de ce nom, une des soupentes du fiacre casse, et voilà la voiture sur le côté. La portière s'ouvre et il en sort un moine et trois filles. Le moine se met à courir. Le caniche du fiacre saute d'à côté de son maître, suit le moine, l'atteint et saisit des dents sa longue jaquette. Tandis que le moine se démène pour se débarrasser du chien, le fiacre qui ne veut pas perdre sa course, descend de son siège et va au moine. Cependant une des filles pressait avec sa main une bosse qu'une de ses compagnes s'était faite au front, et l'autre à qui l'aventure paraissait comique, toute débraillée et les mains sur les côtés, s'éclatait de rire ; les marchands et les marchandes en riaient aussi sur leurs portes, et les polissons qui s'étaient rassemblés criaient au moine : Il a chié au lit ! Il a chié au lit ! -Cela est excellent, dit Baudouin. -Et même un peu moral ; c'est du moins le vice puni. Et qui sait si le moine de ma connaissance à qui la chose est arrivée, il voulait montrer chez une sage-femme une fille qui vient d'accoucher clandestinement et que la misère forçait d'abandonner son enfant aux Enfants-Trouvés, pp.169-170

. Jacques-le-fataliste,

J. , Placez-vous devant la Fontaine des Innocents ou proche la porte Saint-Denis ; ce sont deux accessoires qui enrichiront la composition

L. Maître.--m'y-voilà and . Jacques, Voyez au milieu de la rue un fiacre, la soupente cassée, et renversé sur le côté

L. Maître,

J. , Une des filles, débraillée, la gorge découverte, se tient les côtés à force de rire. L'autre fille, qui s'est fait une bosse au front, est appuyée contre la portière, et se presse la tête à deux mains. Cependant la populace s'est attroupée, les polissons accourent et poussent des cris, les marchands et les marchandes ont bordé le seuil de leurs boutiques, Un moine et deux filles en sont sortis

L. Maître, Comment diable ! Jacques, ta composition est bien ordonnée, riche, plaisante, variée et pleine de mouvement. À notre retour à Paris, porte ce sujet à Fragonard, pp.221-222

I. Oeuvres, Éditions d'OEuvres Complètes et d'oeuvres groupées utilisées

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